Les entreprises doivent utiliser leurs ressources de façon optimale pour réduire les coûts de fonctionnement et maximiser les retombées financières. Dans le même temps, les données n’ont jamais été aussi importantes pour l’entreprise. De plus en plus d’entreprises deviennent des entreprises de données. Les données constituent le cœur des activités d’une entreprise, et vous devez pouvoir y accéder en tout temps. Les entreprises ont donc besoin d’une solution de stockage durable, qui peut être accès depuis n’importe quel point de l’entreprise et sans restriction d’endroit, et qui peut aussi être utilisée pour partager des fichiers avec ses fournisseurs, ses clients, ses fournisseurs et les clients.
Pour les petites entreprises, la solution la plus efficace et la plus rentable est le stockage en cloud. En effet, les solutions de stockage en nuage sont conçues pour offrir une haute disponibilité, peu coûteuses et faciles à mettre en place. Les solutions de stockage en nuage permettent aux petites entreprises de se concentrer sur leurs activités clés, et non pas sur un système complexe de stockage ou d’archivage.
Voici les points à retenir :
Le stockage en cloud est plus facile à gérer qu’un système de stockage traditionnel.
Les solutions de stockage en cloud sont économiques et évolutives.
Les petites entreprises devraient choisir le stockage en cloud comme solution de stockage de données.
Pour plus d’informations sur les solutions de stockage en cloud contactez-nous.
1. Le recyclage des parcs informatiques
Le recyclage des parcs informatiques permet aux entreprises de réduire leurs coûts d’achat et d’exploitation. Ces économies peuvent être réalisées en rachetant les composants des anciens postes de travail ou serveurs, ou en en faisant un échange avec les fournisseurs de matériel. Le recyclage des composants des anciens systèmes permet aux entreprises de réduire leurs coûts d’acquisition et d’exploitation des nouveaux systèmes.
Les entreprises disposent de plusieurs options pour le recyclage des composants. La première option est le recyclage des composants par l’entreprise elle-même ou par une société de service. La deuxième option est de confier le recyclage à un tiers. Troisièmement, l’entreprise peut décider d’échanger leurs composants avec d’autres sociétés.
Le recyclage des composants permet aux entreprises d’alléger les charges de gestion car elles n’ont plus à prendre en charge la gestion des composants obsolètes. Les composants manipulés sont réutilisés et recyclés afin de réduire la quantité de déchets électroniques et d’éviter de les brûler. Les composants s’ils sont éliminés par incinération ne produisent pas de déchets.
2. Le transfert des données
Les données sont des informations qui peuvent être stockées et manipulées par les logiciels d’un système informatique. La valeur que représente les données pour une entreprise est déterminée par les informations qu’elles contiennent et la facilité avec laquelle elles peuvent être transférées. Il existe plusieurs moyens pour transférer des données. Le plus simple pour les utilisateurs est de simplement copier leurs fichiers sur un support électronique, comme par exemple un disque dur, une clé USB ou un CD ROM. Il est également possible de transférer des données à l’aide d’un réseau informatique. Pour cela, les utilisateurs peuvent utiliser un réseau local, comme un réseau Ethernet ou un réseau sans fil. Il est également possible de transférer des données à l’aide d’un service de transfert de fichiers par Internet.
Le transfert des données est essentiel pour que les utilisateurs puissent conserver les données qu’ils ont créé. Dans le cas où les données ne sont pas archivés, elles peuvent être perdues pour toujours. Le transfert des données est également essentiel pour la sauvegarde des données et pour leur restauration. Lorsque les données sont stockées à plusieurs endroits, il est plus facile de les restaurer en cas de perte. Le transfert des données est également essentiel pour la transformation des données d’un format à un autre, comme par exemple du format de fichiers de Microsoft Office au format de fichiers de Microsoft Excel.
Les données peuvent être stockées à plusieurs endroits répartis dans le monde. Par exemple, les données peuvent être stockées sur un ordinateur local, une clé USB, le Cloud et dans un serveur de stockage comme par exemple un serveur de stockage externe. Le transfert des données permet à l’utilisateur de stocker des données en sécurité sur plusieurs endroits et d’accéder à ses données depuis n’importe quel endroit.
Cette application vous offre la possibilité de transférer les données de votre ordinateur vers un serveur FTP et vice versa. Cette application est également capable de transférer les données entre différents services de transfert de fichiers comme par exemple FileZilla, Cyberduck, etc.
La technologie du réseau fait que toutes les données sont stockées à plusieurs endroits dans le monde et que vous pouvez accéder à vos données depuis n’importe où. Les applications de transfert de données vous offrent la possibilité de transférer vos données vers un cloud, un serveur FTP ou vers un autre service de stockage. Le transfert des données est une solution économique et écologique pour garder ses données en sécurité et accéder à ses données depuis n’importe quel endroit.
Il existe des applications de transfert de données pour différents réseaux. Vous pouvez par exemple utiliser un service de transfert de données pour accéder à vos données en ligne et pour les transférer entre des services de stockage comme par exemple Dropbox, Google Drive, etc. Les smartphones et tablettes peuvent également fonctionner avec ces applications. Il existe des applications pour Android et iOS.
Vos données sont toujours en sécurité dans le cloud
Le transfert des données peut être effectué via le réseau Internet ou via un réseau sécurisé. Par exemple, vous pouvez transférer des fichiers sur un serveur FTP ou un cloud. Le transfert est sécurisé et vos données ne risquent pas d’être perdues ou volées.
Les applications de transfert de données sont souvent gratuites et vous permettent d’utiliser le service à votre guise. Les applications gratuites sont bien entendu limitées en terme de capacité et de fonctionnalités. Si vous avez besoin d’un service de transfert de données pour une utilisation professionnelle, vous devrez probablement payer pour l’utilisation du service.
3. Organiser les données de l’entreprise
Les données sont enregistrées dans le cloud et stockées avec le logiciel de gestion de contenu. L’application de gestion de contenu peut être installée sur tous les ordinateurs de l’entreprise ou uniquement sur quelques-uns. Le logiciel permet de sauvegarder et de restaurer les données, les mettre à jour et les gérer. Il peut également être utilisé pour synchroniser les données avec des smartphones ou des tablettes. Le logiciel de gestion de contenu sert à la fois à stocker et à gérer les données. Le cloud est utilisé pour stocker les données.
Le logiciel de gestion de contenu est nécessaire pour sauvegarder et restaurer les données, permettre l’accès aux documents aux utilisateurs et gérer le contenu. Le logiciel de gestion de contenu permet également de synchroniser les données pour permettre aux employés de travailler à partir de n’importe quel endroit et sur n’importe quelle plate-forme.
Gardez le contrôle des données
Le cloud est un moyen efficace de stocker et d’organiser les données. Mais il faut garder à l’esprit que les données sont stockées sur un serveur dans un centre de données. Il est important de bien comprendre que le centre de données peut être localisé à l’extérieur de vos frontières géographiques et/ou juridiques. Cela signifie que les données ne sont plus sous votre contrôle.
Par exemple, si vous décidez de sauvegarder vos données dans le cloud, elles seront stockées par un prestataire en ligne, ailleurs à l’autre bout du monde. Vous n’avez pas l’autorité pour accéder à ces données. Vous devez compter sur des contrats d’utilisation et des clauses de confidentialité pour garantir l’intégrité des données. Comme nous l’avons dit précédemment, le contrat est la seule garantie que vous avez que les données sont sécurisées, conformes à la réglementation et protégées, y compris en cas de faillite de l’entreprise.
Le centre de données est généralement sous la responsabilité du prestataire. Ce dernier est responsable des points suivants :
• Les systèmes d’information et de communication (SIC)
• Les données de sécurité
• Le réseau
• Le matériel et l’informatique
Pour garantir un niveau de conformité élevé, il est important que les centres de données soient certifiés ISO/IEC 27001:2022. Les prestataires doivent vraiment être conscients de la sécurité IT et doivent démontrer leurs compétences en matière de gestion de risques, de gestion des incidents et de sécurité des données. Ils doivent également prouver que leurs procédures sont mises en œuvre.
Une fois le centre de données certifié, il peut respecter les exigences de cette norme. Ils doivent être en conformité avec la réglementation sur la protection des données, qu’il s’agisse du RGPD, de la directive de 1995, de la législation nationale et des lois spécifiques à chaque pays. Ils font passer les audits de conformité qui vérifient que les organisations sont capables d’assurer un niveau de conformité élevé.
Le prestataire peut être en mesure d’assurer un niveau élevé de conformité à la norme ISO 27001, mais il est possible qu’il ne soit pas en mesure de s’assurer qu’ils sont en conformité avec les exigences du RGPD. En effet, la norme ISO 27001 n’est pas suffisante pour se conformer au RGPD. Le prestataire doit être en mesure d’assurer que les données sont traitées de façon légale au regard de la législation spécifique de chaque pays.
Dans le cas d’un centre de données qui héberge des données personnelles du travailleur, cela implique également le respect des réglementations nationales nécessaires, telles que la législation sur les réfugiés ou la législation sur l’immigration.
Le prestataire doit être en mesure de s’assurer que les données sont stockées et traitées de façon légale. Cela implique qu’il détermine si le centre de données est situé dans un pays où la protection des données est satisfaisante. Il doit également être en mesure d’assurer que les staffs du centre de données sont suffisamment formés pour gérer les données d’entreprise de manière légale.
Pour des questions pratiques, le prestataire peut établir un contrat avec le centre de données qui est dédié à l’hébergement des données personnelles.
Les données personnelles doivent être stockées dans un centre de données sécurisé. Ce centre doit comporter des mesures de sécurité qui garantissent que les données ne peuvent pas être consultées ou modifiées par des personnes non autorisées.
De même, le prestataire doit s’assurer que les données ne peuvent pas être transférées vers des pays où la protection des données n’est pas suffisante, qu’il y ait de la surveillance régulière de la sécurité et que le personnel qui traite les données personnelles soit suffisamment formé à la protection des données.
Le prestataire doit également surveiller les changements de la législation et de la technologie en matière de protection des données afin de s’assurer que les données demeurent protégées en tout temps.
Si le prestataire se trouve à l’extérieur de l’UE, les données doivent être stockées dans un centre de données situé dans l’UE.
Les données personnelles doivent être stockées dans un centre de données situé dans l’UE. Une dérogation est possible si le prestataire peut prouver qu’il existe des mesures de sécurité appropriées et que celles-ci sont efficaces.
En cas de violation de la protection des données, le prestataire doit informer le responsable du traitement ou les personnes concernées rapidement. Il doit également informer sans délai les autorités de contrôle (en Belgique : la Commission de la protection de la vie privée).
Conclusion
Les obligations pour les prestataires de services en matière de protection des données sont nombreuses. Les prestataires doivent se tenir à ces obligations en tout temps et pouvoir apporter ainsi une preuve de l’application effective des mesures de protection des données. L’entreprise devra également être capable de remplir ces obligations si elle traite des données personnelles d’une autre entreprise. Une entreprise qui ne respecte pas ces exigences peut se voir infliger une sanction pouvant aller jusqu’à 100 000 euros d’amende. Dans le cas d’une violation de la protection des données, l’entreprise sera également tenue de dédommager l’individu touché.
4. La valeur des données d’entreprise évolue rapidement.
Les données peuvent ainsi vous apporter des avantages significatifs, tels que des gains de productivité, des opportunités de croissance et de nouveaux débouchés, une meilleure efficacité et un meilleur service à vos clients. L’entreprise doit cependant veiller à ce que les données d’entreprise ne soient pas utilisées contre elle. En cas de violation de la protection des données, l’entreprise devra en effet réparer les dommages et indemniser les victimes.
Pour illustrer ces points, nous avons pris les exemples suivants :
- La protection des données personnelles d’un individu est violée à la suite d’un vol de son téléphone portable. L’individu doit alors être dédommagé pour le préjudice subi (perte de données, perte de contrats, etc.). Le responsable de la violation de données peut lui aussi se voir infliger une amende équivalente à 100 000 euros maximum.
- Lors de l’installation d’une nouvelle application sur un smartphone, les données personnelles du client sont enregistrées par l’entreprise qui met à disposition cette application . Celle-ci peut être amenée à céder des données à un tiers par exemple, dans le cadre d’un contrat de partenariat.
- Le client souhaite résilier son abonnement et demande à récupérer ses données, mais l’entreprise refuse en invoquant la clause contractuelle qui l’autorise à conserver les données du client (données personnelles et historiques de navigation) à des fins de marketing. Le client refuse de fournir ses données, estime que l’entreprise n’a pas le droit de les conserver et demande au gendarme de la protection des données de prendre des mesures nécessaires.
C’est ce qui s’est passé avec la CNIL. En effet, la CNIL avait reçu une demande d’intervention de la part d’un internaute. Ce dernier souhaitait justement que l’entreprise en question lui restitue ses données. Le fait de conserver des données personnelles sans le consentement du client est en effet interdit selon l’article 32 de la loi informatique et libertés.
La CNIL a donc envoyé une lettre de mise en demeure à la société concernée, qui a été publiée sur son site internet, afin de lui demander de faire cesser cette pratique illégale. En effet, l’entreprise avait refusé d’obtempérer à la demande du client en lui restituant ses données.
Le gendarme de la protection des données a donc pris une sanction en infligeant une amende de 300 000 € à l’entreprise concernée. La CNIL a précisé que cette amende ne s’appliquait pas seulement pour le fait d’avoir gardé les données du client, mais également pour le refus de coopérer avec la CNIL, car la société en question n’avait pas répondu à ses demandes.
Comme nous vous l’avons déjà précisé, la CNIL a le pouvoir de sanctionner en cas de manquement aux règles de protection des données des clients. Il faut savoir que les sanctions peuvent être très sévères, puisque la loi prévoit une amende de 1 000 000 d’euros ou 2% du chiffre d’affaires mondial. Nous supposons que l’entreprise concernée va probablement se conformer à la loi et restituer les données du client.
Il est vrai que ce n’est pas la première fois qu’une entreprise est sanctionnée par la CNIL, puisque celle-ci avait infligé une amende de 100 000 € à Google en 2016 pour ne pas avoir pris en compte le droit des internautes. La CNIL avait mis en garde l’entreprise concernée et lui avait demandé de rectifier son comportement, mais Google n’avait pas obtempéré.
C’est dans ce contexte que la CNIL a utilisé le recours à l’amende pour faire évoluer les comportements des entreprises et les induire à respecter les règles de protection des données des clients. Il est vrai que cette amende était très salée et pouvait faire réfléchir les entreprises à revoir leurs pratiques de protection des données.
En effet, lorsque cette loi a été votée en 1978, l’informatique n’était pas encore une profession et un secteur économique, comme cela est le cas aujourd’hui. A l’époque, les internautes étaient quelques milliers et les entreprises qui avaient recours aux fichiers sociaux étaient très peu nombreuses.
C’est pourquoi la CNIL a été amenée à utiliser des sanctions financières pour corriger les pratiques d’entreprises, qui sont devenues massives et généralisées. C’est donc la première fois que la CNIL a utilisé l’amende forfaitaire pour faire évoluer les pratiques des entreprises.
5. La cybersécurité,nouveau défi pour la CNIL
Depuis quelques années, la CNIL a mis au point une nouvelle politique visant à favoriser la sécurisation des réseaux et donc la protection des citoyens. Cette politique a d’abord été mise en œuvre dans le secteur de l’énergie, puis dans celui des transports et des télécoms.
Dans ces secteurs, la CNIL a obtenu les pleins pouvoirs sur la sécurité de ces réseaux. Cela fait en sorte que lorsqu’un réseau est attaqué par des cybercriminels , la CNIL est en mesure de prendre les mesures qui s’imposent afin d’éviter toute atteinte à la vie privée des utilisateurs.
Cette politique s’effectue toujours dans le cadre de son pouvoir de sanction, mais elle vise désormais à protéger les citoyens et non plus seulement à faire respecter des règles.
C’est pourquoi la CNIL a créé à cet effet une direction dédiée aux cybersécurité. Cette direction a été mise en place il y a un an et la CNIL travaille déjà sur deux projets .
Un réseau de cybersécurité pour les entreprises et une charte de bonnes pratiques sur la cybersécurité.
La CNIL mène des travaux en collaboration avec l’ANSSI, qui est le service spécialisé de l’État chargé de la sécurité informatique. La CNIL et l’ANSSI travaillent actuellement sur un réseau commun d’échanges d’information avec les autres organismes de sécurité informatique, afin de garantir une meilleure sécurisation des réseaux et des données, quelle que soit leur nature.
Cette institution travaille aussi sur un projet de charte de bonnes pratiques de cybersécurité, qui sera publiée cet été. Cette charte est l’aboutissement d’un travail en collaboration avec plusieurs acteurs du secteur : les fournisseurs d’accès à internet, les groupes industriels, les éditeurs de logiciels et d’applications.
Cette charte a pour objectif de venir en aide aux entreprises et aux particuliers afin de leur permettre de mieux protéger leurs informations personnelles et leurs données contre les risques liés à la cybercriminalité.